Les chales
Alors que je profitais de ma pause de midi pour aller faire quelques emplettes, je prend le métro parisien quand soudain je me fis agresser visuellement ... ce sont bien eux, les chales.
Mais qu'est-ce donc ?
Explication : les chales sont un surnom parmi tant d'autres de la jeunesse dorée. Ce genre de « gamins » issues d'une famille aisée relativement déconnectés de la vie.
Voici donc que débarque dans la trame trois chales. Bien entendu tous les trois fashion de la tête aux pieds, suivant comme les autres moutons, le troupeau. Le pantalon se doit d'être un jean délavé, de préférence Diesel ou RG512, bien entendu la version masculine se porte sous les fesses afin de montrer la présence du dernier boxer. Le haut se doit d'arborer fièrement la marque (sont-ils payés par les marques ? Ah on me signale que non) et pour finir, bien entendu, par les lunettes top fashion du moment, teintées pour éviter d'être ébloui par la lumière aveuglante des néons du métro très certainement.
J'allais surtout oublier l'appareil vital, un iPod nano vissé aux oreilles. Il est impensable d'avoir autre chose qu'un iPod nano, ça ferait vraiment ridicule, vous vous rendez compte ...
Voilà donc ces trois personnes se croyant peut-être chez eux en parlant et gigotant avec leurs sons dans les oreilles, faisant comme s'ils étaient seuls.
On ne leur a pas appris que l'on devait respecter un minimum les gens autour de nous ?
On aurait envie de les caillasser.
Ce genre de personnes m'exaspère, tout simplement car ils sont déconnectés de la vie, ils ne connaissent pas du tout la valeur de l'argent et le claque de poche gracieusement offert par papa maman dans des choses futiles et très superficielles.
Ils sont comme des moutons à suivre la « pseudo mode ». Je ne comprend pas comment on peut suivre un troupeau. On devient un clone, une ombre. Impersonnel.
Jaloux ?
Certainement pas, à force d'efforts je gagne suffisamment ma vie pour m'offrir ce que je veux et profiter de la vie comme je l'entend, mes parents ont su être présents sans être trop couvents. Je ne suis pas jaloux non plus de leur train de vie, de leurs soirées alcoolisées parisiennes. Ca c'est dit.
N'empêche que c'est pathétique et amusant d'en croiser, des chales. Ils ont mêmes des blogs.
Mais qu'est-ce donc ?
Explication : les chales sont un surnom parmi tant d'autres de la jeunesse dorée. Ce genre de « gamins » issues d'une famille aisée relativement déconnectés de la vie.
Voici donc que débarque dans la trame trois chales. Bien entendu tous les trois fashion de la tête aux pieds, suivant comme les autres moutons, le troupeau. Le pantalon se doit d'être un jean délavé, de préférence Diesel ou RG512, bien entendu la version masculine se porte sous les fesses afin de montrer la présence du dernier boxer. Le haut se doit d'arborer fièrement la marque (sont-ils payés par les marques ? Ah on me signale que non) et pour finir, bien entendu, par les lunettes top fashion du moment, teintées pour éviter d'être ébloui par la lumière aveuglante des néons du métro très certainement.
J'allais surtout oublier l'appareil vital, un iPod nano vissé aux oreilles. Il est impensable d'avoir autre chose qu'un iPod nano, ça ferait vraiment ridicule, vous vous rendez compte ...
Voilà donc ces trois personnes se croyant peut-être chez eux en parlant et gigotant avec leurs sons dans les oreilles, faisant comme s'ils étaient seuls.
On ne leur a pas appris que l'on devait respecter un minimum les gens autour de nous ?
On aurait envie de les caillasser.
Ce genre de personnes m'exaspère, tout simplement car ils sont déconnectés de la vie, ils ne connaissent pas du tout la valeur de l'argent et le claque de poche gracieusement offert par papa maman dans des choses futiles et très superficielles.
Ils sont comme des moutons à suivre la « pseudo mode ». Je ne comprend pas comment on peut suivre un troupeau. On devient un clone, une ombre. Impersonnel.
Jaloux ?
Certainement pas, à force d'efforts je gagne suffisamment ma vie pour m'offrir ce que je veux et profiter de la vie comme je l'entend, mes parents ont su être présents sans être trop couvents. Je ne suis pas jaloux non plus de leur train de vie, de leurs soirées alcoolisées parisiennes. Ca c'est dit.
N'empêche que c'est pathétique et amusant d'en croiser, des chales. Ils ont mêmes des blogs.